Les virus hivernaux (grippe, bronchites, rhumes, bronchiolites, gastro-entérites….) se transmettent principalement par :

• Les postillons
• Les éternuements
• la toux
• la salive
• les mains

• se laver les mains
• utiliser un mouchoir en papier
• porter un masque
• suivre d’autres conseils de prévention

Lavage des mains

Lavez-vous les mains plusieurs fois par jour pendant au moins 30 secondes, et systématiquement:

• après avoir éternué, toussé ou s’être mouché
• avant et après chaque repas
• après chaque sortie et retour au domicile
• après être allé aux toilettes

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Après s’être lavé les mains, les désinfecter régulièrement par un gel hydro-alcoolique désinfectant

Différents gels hydro-alcooliques

Les gels recommandés par l’ANSM sont ceux dont la concentration d’alcool est située entre 60 et 70% ou à une concentration de 520 à 630mg/g

Conseils sur les gels hydro-alcooliques

• Les frictions de solution hydro-alcoolique sont plus efficaces et plus rapides (20 à 30 secondes) que le lavage des mains à l’eau et au savon, même antiseptique. Leur rémanence sur la peau améliore leur pouvoir antiseptique

• Ne pas rincer.

• Le lavage des mains au savon et à l’eau est nécessaire en cas de souillures visibles.

• L’application de solution hydro-alcoolique ne se fait que sur mains propres, sèches et non lésées (absence de blessures). Il est recommandé de se frictionner les mains pendant au moins 3O secondes, jusqu’à ce que les mains soient sèches

• Leur utilisation est à éviter sur mains mouillées (possibilité d’irritation cutanée, risque de dilution avec perte d’efficacité).

• Ne pas appliquer la solution hydro-alcoolique sur les muqueuses (risque d’irritation et de lésions)

• Ne pas utiliser pour désinfecter une plaie.

• Les gels hydro-alcooliques ne sont pas indiqués pour la désinfection des surfaces inertes.

• Surveiller aussi la date limite d’utilisation après ouverture.

• Surveiller vos enfants lors de l’application du gel hydro-alcoolique. Les mains ne doivent pas être portées à la bouche tant qu’elles ne sont pas sèches!

• Eviter leur application en cas de grossesse et aux nourrissons (son intérêt est limité tant que l’enfant ne marche pas). En Allemagne ces gels hydro-alcooliques sont déconseillés chez les enfants de moins de 12 ans.

⇑Limiter les risques infectieux

Utiliser un mouchoir en papier

Utiliser un mouchoir en papier pour se moucher, tousser, éternuer ou cracher, et jeter le mouchoir immédiatement après dans une poubelle. Ensuite lavez-vous les mains pendant 30 secondes
⇑Limiter les risques infectieux

Portez un masque

Porter un masque est un moyen efficace pour lutter contre les virus à transmission aérienne, à condition que les mailles du masque soient adaptées au diamètre des particules infestantes.

Les projections émises lors de la grippe A/H1N1 sont constituées de gouttelettes de 5 microns mais aussi d’aérosols de particules beaucoup plus petites (0,2 micron).

• le masque chirurgical doit être porté par la personne malade pour éviter de contaminer son entourage. Efficace 8 heures, il est toutefois recommandé de le changer dès qu’il devient humide, de le jeter dans une poubelle munie d’un sac en plastique et qui ferme, et de se laver les mains immédiatement après en avoir changé.  Pour enlever le masque, ne toucher que les attaches. Appliquer éventuellement une solution hydro alcoolique après manipulation.
• le masque de protection respiratoire: FFP est destiné à protéger celui qui le porte contre l’inhalation d’agents infectieux transmissibles, que ce soit par voie aérienne (aérosols) ou par voie de gouttelettes. Il existe 3 classes de masque FFP1, FFP2, FFP3 par ordre croissant d’efficacité (92% pour le FFP2, 98% pour le FFP3). Ces masques sont efficaces 8 heures, mais il est recommandé d’en changer toutes les 4 heures, voire à chaque fois qu’on le retire (pour manger ou boire…). Il faut veiller à son bon ajustement (attention à la barbe, même de quelques jours qui diminue l’étanchéité des masques). Il peut être plus difficile à supporter car il tient chaud et peut gêner la respiration.

⇑Limiter les risques infectieux

Autres conseils

• Isoler les personnes fragiles ( malades, enfants, personnes âgées…)
• Désinfecter les poignées de porte, le téléphone… car les virus respiratoires se transmettent aussi par contact avec les objets souillés par ces virus
• Aérer les espaces clos plusieurs minutes par jour
• Utiliser un diffuseur d’huiles essentielles avec un mélange assainissant
• Évitez d’utiliser des objets personnels du malade (brosse à dents, jouets d’enfants, etc.).

⇑Limiter les risques infectieux

Certaines personnes sont plus fragiles et plus sensibles aux infections. Il s’agit principalement de personnes diabétiques, sous chimiothérapie ou radiothérapie, patients neutropéniques, VIH…

Mesures d’hygiène

• Éviter les contacts avec les personnes enrhumées, grippées ou qui souffrent de maladies infectieuses (varicelle, herpès…)
• Bien se couvrir pour sortir. Éviter les transports en commun, les bains de foule, les séances de piscine.
• Être prudent au cours de certaines activités: porter des gants de protection pour le ménage ou pour faire du jardinage pour se protéger des coupures et des brûlures.
• Ne pas marcher pieds nus.
• Ne pas toucher les animaux domestiques ni leurs excréments.
• Éviter tout contact avec de l’eau stagnante (vases, humidificateurs).
• Prendre une douche ou un bain tous les jours.
• Se laver les mains plusieurs fois par jour, notamment avant les repas et après avoir été aux toilettes.
• Préférer les serviettes hygiéniques aux tampons.
• Maintenir une bonne hygiène buccale: se brosser les dents 3/j à l’aide d’une brosse à dents souple, bien nettoyer matin et soir les appareils dentaires. Consulter un dentiste avant de démarrer une chimiothérapie ou une radiothérapie afin de soigner un trouble dentaire éventuellement présent.
• Faire attention en se coupant les ongles. Ne pas tirer sur les cuticules, ni les couper.
• Utiliser un rasoir électrique propre plutôt qu’une lame de rasoir.
• Ne pas toucher ou triturer les boutons

Assainir sa maison

• Penser à bien aérer les pièces (30 minutes à une heure par jour), ne pas les surchauffer (18°C dans les chambres, 19°C dans le reste de la maison), humidifier l’atmosphère de l’air (en déposant un gant mouillé sur les radiateurs par exemple). Bien aérer les pièces de la maison et en particulier  la chambre pour éviter la stase des germes et leur propagation au sein de la famille.

• Utilisez un diffuseur d’huiles essentielles  avec un mélange d’huiles essentielles purifiantes qui va purifier l’atmosphère et dégagera les voies respiratoires.

Se protéger des infections avec les huiles essentielles

• Pulvériser des aérosols bactéricides

Surveiller son alimentation

• 

  Eviter les pâtisseries et la crème du commerce

  Éviter de manger en raison du risque infectieux : crustacés, lait cru et fromages au lait cru, les œufs durs, charcuterie à la coupe, les pâtisseries à la crème du commerce, la mayonnaise, la mousse au chocolat, la consommation de légumes ou de fruits crus non épluchés.

• Privilégier les fruits ou les légumes crus qui s’épluchent et qui sont préparés au dernier moment.
• S’assurer que la nourriture (notamment les viandes et les poissons) est bien cuite.
• Éviter de consommer les aliments préparés depuis plus de 24 heures.
• Vérifier que la température de votre réfrigérateur ne dépasse pas 4°C

Allaitez

L’allaitement maternel protège les enfants des infections respiratoires hautes et basses dont les rhinopharyngites.

Hygiène de vie

• Éviter de fumer ou de vous trouver dans des atmosphères enfumées. De nombreuses substances contenues dans la fumée du tabac sont irritantes, perturbent les fonctions immunitaires, l’élimination  du mucus bronchique, etc… Le tabagisme fait plus que doubler le risque de nombreuses infections: pneumonies à pneumocoques, légionelloses, tuberculose pulmonaire, surinfection de bronchite chronique ou méningites bactériennes.
• Avoir un sommeil de qualité et réparateur

Ce médicament est un immunomodulateur des affections rhinopharyngées.

Composition: Cystine, Rétinol (Vitamine A), soufre, Saccharomyces cerevisiae.

Posologie: Maxi 3cp par jour pendant 3 mois. Ne pas utiliser de façon prolongée.

Contre indiqué chez la femme enceinte en raison de la présence de Vitamine A (tératogène), prudence pendant l’allaitement.

Le fer est nécessaire au bon déroulement des réactions immunitaires. un déficit en fer sérique est un facteur favorisant les rhinopharyngites.

Le traitement par le fer doit être instauré sur les résultats d’une prise de sang et après avis médical uniquement.

Miel

Utilisez du miel pour sucrer votre café par exemple. Votre pharmacie peut vous fournir des miels spéciaux (miel de thym, miel de romarin…).

Gelée royale

Concentré nutritif revitalisant, qui aide à stimuler les défenses naturelles. Elle possède aussi une haute qualité nutritionnelle (acides aminés essentiels, oligoéléments, vitamines B). La Gelée royale nourrit les larves les 3 premiers jours de leur vie, mais aussi la reine durant toute son existence. En prévention, on préconise une cure de 0,5g/jour pendant 40 jours. Elle peut être prise en curatif à la dose de 1g/jour pour stopper une infection en cour

Propolis

La propolis est une substance résineuse élaborée à partir, de leur salive et de résine récoltée sur les bourgeons et les écorces d’arbres blessés (pins, sapins, épicéa, aulne, peuplier…).

Les abeilles enduisent les parois intérieures de la ruche de propolis, afin de la protéger des agressions bactériennes, fongiques ou virales.

Les probiotiques sont des micro-organismes vivants (bactéries lactiques, bifidobactéries et levures du genre saccharomyces) qui absorbées en quantité suffisante, rééquilibrent le microbiote intestinal et procurent un effet bénéfique sur la santé en participant à augmenter les défenses naturelles.

Pourquoi les probiotiques intestinaux nous protègent-ils des infections?

Le système immunitaire est particulièrement présent au niveau intestinal, qui concentre 60 à 70% des cellules impliquées dans l’immunité (macrophages, lymphocytes…).

Les bactéries saprophytes présentes dans la flore intestinale normale ont de nombreuses interactions avec le système immunitaire. Elles permettent d’améliorer la capacité de détection des macrophages et le renforcement de la phagocytose, la stimulation de la production d’immunoglobulines (anticorps protecteurs) et le renforcement de la réactivité de certains lymphocytes. La supplémentation en certaines souches de bactéries (probiotiques) permet donc d’améliorer la résistance de l’organisme aux agressions. Les souches à préférer dans la stimulation sont Lactobacillus casei, L acidophilus, L rhamnosus et L bifidus.

Conseils sur les probiotiques

• Pour une efficacité optimisée, la cure doit commencer le plus tôt possible en automne et se prolonger pendant tout l’hiver.
• Les sachets doivent être dilués dans des liquides neutres, à température ambiante, en évitant une température trop élevée ou des boissons glacées qui tuent les probiotiques.
• Attention certaines gélules sont gastrorésistantes (afin de protéger les probiotiques des attaques acide de l’estomac). Il ne faut donc pas les ouvrir. Pour limiter le temps de contact avec l’acidité gastrique (délétère pour les bactéries), préférer une prise 15 minutes avant le repas.
• Les probiotiques sont déconseillés chez les patients immunodéprimés.

Aliments naturellement riches en probiotiques

• Yaourts et le lait fermenté. Préférer ceux enrichis en Lactobacillus casei 
• Choucroute (crue si possible)
• Aliments lacto-fermentés vendus en magasins bio (olives, pain au levain…)

Certains aliments sont naturellement riches en probiotiques, mais leur apport ne suffit pas à lui seul à agir sur l’immunité, car il faut avaler des milliards de probiotiques pour bénéficier de leur protection.

Probiotiques

Les prébiotiques sont des produits peu ou pas digérés et absorbés au niveau intestinal, qui fermentés par la flore intestinale stimulent la croissance et l’activité de cette flore.

• Oligosaccharides : inuline (GOS)
• Fructo-oligosaccharides (FOS)

Ils sont souvent associés aux probiotiques : prébiotiques + probiotiques = symbiotiques

Aliments naturellement riches en prébiotiques

Certains aliments sont excellents pour la flore en leur fournissant des conditions de développement idéales: artichaut, ail, oignions, asperges, bananes…

Se protéger des infections avec les huiles essentielles

Les oligoéléments permettent de modifier le terrain chez les patients faisant des infections à répétition et permettent ainsi d’augmenter leurs défenses immunitaires naturelles

Exemples d’indication des oligoélements

• Prévention des rhinopharyngites: Association Manganèse-Cuivre à prendre 1 prise par jour, 1 jour/2 pendant quelques semaines chez l’enfant. Idéalement, commencer la cure 2 mois avant la période à risque (dès l’automne) et la poursuivre pendant 2 à 3 mois
• L’ association Cuivre Or Argent  est particulièrement efficace pour modifier le terrain et faciliter la récupération au cours de la phase de convalescence des maladies.
• L’ oligoélément Soufre  joue aussi un rôle dans la prévention des maladies respiratoires.
• L’oligoélément Sélénium est indiqué en prévention des infections ORL: une prise par jour à 2/semaine Attention au risque cumulatif du sélénium (alimentation, compléments alimentaires…)
• En cas d’infection avérée, le cuivre à dose catalytique (3 ampoules par jour pendant 2 jours) est un allié précieux. Antiviral et bactéricide, il aide à lutter contre toutes les infections des voies respiratoires et contribue à stimuler les défenses de l’organisme.

Conseils de prise

Il est préconisé d’ingérer les oligoéléments avant le repas ou à jeun. Le mode de prise est différent selon les marques d’oligoélements: 

• Oligosols® ou Oligostim®: L’absorption se fait par voie sublinguale, de préférence le matin à jeun, 15mn avant un repas ou éventuellement le soir au coucher. Le contenu de l’ampoule ou le comprimé doit être gardé 1 à 2 minutes sous la langue avant d’avaler.
• Granions® : Les granions peuvent être dilués dans un verre d’eau et avalés en dehors des repas. 

En cas d’association de plusieurs oligoéléments, il est conseillé de respecter un intervalle de 15 à 20 minutes entre chaque prise ou bien de les prendre de manière espacée durant la journée afin d’éviter tout risque d’interaction.

Les plantes immunostimulantes

La gemmothérapie utilise des produits de macération des parties embryonnaires des plantes.

Les bourgeons, les jeunes pousses, les radicelles sont macérées dans un mélange d’eau, d’alcool et de glycérine pour d’obtenir un macérât glycériné.
Les macérâts glycérinés de plantes sont utilisés purs ou dilués le plus souvent au dixième (1D). Leur principal intérêt est qu’ils sont utilisables chez l’enfant à partir de 30 mois.
On recommande de prendre les gouttes de macérât glycériné au milieu d’un repas, en cure de 3 semaines avec une semaine d’arrêt, et ce, de préférence, pendant 3 mois minimum.
Les macérâts glycérinés de plantes peuvent aussi être pris en entretien, une semaine par mois.

Bourgeons de cassis

Les bourgeons de cassis (Ribes nigrum MG 1D) ont une action anti-inflammatoire sont immunostimulants. Ils augmentent la résistance au froid et à la fatigue.

Posologie adulte: 50 à 100 gouttes par jour sous forme de macérât glycériné 1D. A diluer dans l’eau.
Posologie enfant:  1 goutte par Kg et par jour.

Prendre de préférence les bourgeons de cassis le matin car c’est un stimulant corticosurrénal (comme la cortisone)

Bourgeons d’églantier

Le bourgeon d’églantier (Rosa canina MG 1D) est un remède des infections et inflammations localisées telles otites, sinusites, bronchites, rhinopharyngites…

Le macérât glycériné d’églantier est très utilisé chez l’enfant.

Posologie enfant: 1 goutte par Kg et par jour.
Posologie adulte: 50 à 100 gouttes/jour sous forme de macérât glycériné 1D à diluer dans de l’eau.

Faire une cure de 3 semaines avec une pause de 15 jours entre 2 cures.

Bourgeon d’aulne glutineux

Le bourgeon d’aulne (Alnus glutinosa MG 1D)  agit comme un véritable bouclier contre les attaques extérieures. Il est surtout intéressant pour les affections ORL. Il calme les irritations de la gorge.

Posologie enfant: 1goutte par Kg et par jour.
Posologie adulte: 50 à 100 gouttes/jour sous forme de macérât glycériné 1D à diluer dans de l’eau.

Bourgeon de bouleau

Le bourgeon de bouleau (Betula pubescens MG 1D) complète bien l’action du bourgeons d’aulne surtout dans les états chroniques

Posologie enfant: 1 goutte par Kg et par jour.
Posologie adulte: 50 à 100 gouttes/jour sous forme de macérât glycériné 1D à diluer dans de l’eau.

En prévention pendant la période hivernale

L’homéopathie permet de prévenir les infections virales à condition de s’y prendre un peu à l’avance. Il est possible d’associer tous ces traitements, dès l’automne, jusqu’en Février-Mars

Prendre systématiquement une dose d’Oscillococcinum® tous les 15 jours pendant toute la période hivernale pour prévenir les infections virales.

Associer pendant toute la période hivernale une dose tous les dimanche selon le schéma suivant

• 1er dimanche: 1 dose de Sulfur iodatum 9CH

• 2ème dimanche: 1 dose de Cuprum metallicum 9CH. Cuprum est aggravé par le froid, amélioré par une gorgée d’eau froide

• 3ème dimanche: 1 dose de Thymuline 9CH. L’hormone thymique est nécessaire à la maturation et à l’activation des lymphocytes T, ce qui vise à stimuler les réactions immunitaires. Thymuline 9CH est indiqué chez les adultes; Thymuline 7CH est indiqué chez les enfants et les personnes âgées pour ne pas accentuer les symptômes en début de traitement.

• 4ème dimanche: 1 dose de Influenzinum 9CH

• 5ème dimanche: 1 dose de Serum de Yersin: vise à activer l’immunité non spécifique et à éviter les atteintes pulmonaires bactériennes. Sucer une dose en 9CH 3 jours de suite dès les prémices d’un rhume.

Echinaceae Teinture mère: Cette plante est reconnue pour ses propriétés immunostimulantes mais également antibactérienne et antivirale. Elles stimule l’activité des macrophages, des granulocytes, des cellules NK. Elle augmente la production d’interféron, d’interleukine 1, de radicaux libres oxygénés et de lysozyme. Diluer 50 gouttes de Echinaceae TM le matin dans un grand verre d’eau .
Faire des cures de 20 jours par mois.

Biothérapiques

Des médicaments homéopathiques préparés à partir de cultures de bactéries, encore appelés biothérapiques, permettent de prévenir spécifiquement certaines infections:

Pyrogenium: prévention non spécifique de tous les phénomènes infectieux bactériens
Vaccinotoccinum: prévention non spécifique de toutes les infections virales aiguës ou chroniques
Streptococcinum: prévention des infections streptococciques (Strepto B)
Staphylococcinum: prévention des infections à staphylocoque, voire de toute infection à expression vésiculeuse ou bulleuse
Colibacillinum: prévention des infections à E.coli et en général des bacilles gram négatif
Diphterococcinum: prévention des Corynebactéries et par extension de toutes les infections nosocomiales
Parathyphoidinum B prévention des salmonelloses, à donner en association avec Enterococcinum pour la prévention des infections microbiennes intestinales (entérocolites).
V.A.B: prévention des infections à mycobactéries (Tuberculose…)
Anthracinum: prévention des pathologies infectieuses à point de départ cutané ou muqueux, ou à germes anaérobies

Traitement diathésique

Les personnes très sensibles aux infections correspondent à certains traitement diathésiques. Ils permettront de traiter le terrain et d’éviter les récidives.

• Silicea: Personne sans énergie, très affaiblie, besoin constant de s’allonger, s’endort facilement. Amaigrissement, frilosité (besoin de dormir avec des chaussettes). Ne supporte rien ni personne, se décourage pour un rien, sensible aux infections saisonnières. Prendre une dose par semaine en 9 CH ou 15 CH
• Tuberculinum: Infections de l’arbre respiratoire à répétition, au moindre froid, mais a besoin d’air frais. Amaigrissement et affaiblissement malgré un bon appétit. Instable dans son comportement et dans sa vie professionnelle (limite schizoïde). Aggravation par le froid humide, le moindre effort physique ou mental, le matin au réveil. Amélioré au grand air, par les voyages et le changement.
  Prendre une dose par semaine en 9 CH ou 15 CH
• Mercurius solubilis: Personnes facilement sujettes aux maux de la bouche: angines à répétition, gingivites, aphtes, caries. Rechercher aussi des similitudes avec les autres médicaments de la luèse: Luésinum, tous les mercurius, tous les kali, les métaux lourds comme les métaux lourds comme Argentum nitricum, Aurum metallicum, Baryta carbonica, Platina, Calcarea fluorica, Fluoricum acidum, Iodum, Lachesis, Plumbum, Borax…
  Prendre une dose par semaine en 9 CH ou 15 CH
• Thuya occidentalis: Personnes faisant des MST répétitives.
  Rechercher aussi des similitudes avec les autres médicaments de la sycose: Médorrhinum, Natrum sulfuricum, Nitricum acidum, Causticum, Cortisone, Selenium, Silicea, Calcarea carbonica, Staphysagria, Dulcamara, Sabina, Sarsaparilla…

Lithothérapie déchélatrice

Certaines roches, données en dilutions homéopathiques permettent d’aider l’organisme à améliorer ses défenses naturelles

Pyrolusite D8, Azurite D8 ou Erythrite D8: Prendre une ampoule buvable par jour pendant 2 mois.

Lithothérapie déchélatrice

Pour s’informer en temps réel des épidémies en cours: www.healthmap.org/promed/